terça-feira, maio 27, 2003
Une journée d’Andrei Arsenevitch
Descobri agora mesmo e ainda estou surpreendida: o documentário que Chris Marker fez sobre Tarkovsky vai passar na próxima sexta-feira dia 30, às 22h15 no canal arte. Marquem na agenda, ponham um post it na televisão mas não percam este encontro!
Une évocation magistrale de la vie et de l’œuvre d’Andrei Tarkovski, disparu en 1986. Andrei Tarkovski, déjà très malade, commente dans son Journal de 1986 les images prises lors de l’arrivée à Paris de son fils, Andrioucha, qui enfin avait eu le droit de quitter la Russie pour le rejoindre en France. À partir de cette journée très russe qu’avait filmée Chris Marker viennent se greffer les évocations, les citations, les mises en perspective de ce qui constitue le langage d’un des plus grands stylistes du cinéma de tous les temps.
Poétique de l’image
Invitation à explorer l’une des écritures cinématographiques les plus singulières, ce film évoque les grands thèmes tarkovskiens à travers des extraits de l’Enfance d’Ivan, Solaris, Andreï Roublev, Nostalghia, mais aussi son premier travail d’école à Moscou et un Boris Godounov presque inconnu qu’il a mis en scène à Covent Garden en 1983. Ce film s’appuie sur deux autres documents vidéo: celui d’une visite sur le tournage du Sacrifice, à Gotland, et celui qu’il avait souhaité comme témoignage de son travail, le montrant en train de diriger le montage du fond de son lit…